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Problematic CDM Projects to WATCH ON!

JK Papermill – Afforestation project, India

Plantar – Pig iron project, Brazil

View more examples…

The CDM currently allows afforestation and reforestation (A/R) activities. These describe the direct conversion of non-forested land to forested land through planting, seeding or human-induced promotion of natural seed sources.  ‘Reforestation’ and ‘afforestation’ principally describe the same activity, the main difference between these terms being the length of time the land was non-forested before the re-planting activity began. During the Kyoto Protocol’s first commitment period (2008-2012), CDM activities are limited to afforestation/reforestation of land that did not contain any forest on 31 December 1989.  Such projects receive carbon credits because biological sequestration absorbs COthrough the growth of vegetation and the continued storage in plant tissues and soils. As of April 2012, less than 40 projects have been registered and only one project has received credits.

Take Action Now!
A call for public input on the draft manual of “Afforestation and Reforestation Projects under the Clean Development Mechanism” is now open. Have your say!

Carbon Accounting

‘Tree projects’ have a natural appeal because they conjure up images of pristine and healthy ecosystems. The reality of forest carbon sequestration projects is far more complicated. The amount of carbon sequestered by forests depends upon many factors including tree age, growth rate, local climate and soil quality. Calculating the amount of CO2 taken up or stored in a forest is therefore difficult and complex. This is one of the reasons so few projects have been implemented.

Monoculture Tree Plantations

The definition of ‘forest’ according to the UNFCCC allows CDM projects to reforest with non-native monoculture tree plantations, such as eucalyptus. This ignores and fails to create the value of natural forest ecosystems, such as habitat for biodiversity. The definition of ‘forest’ under the UNFCCC allows tree plantations to be continually harvested under the guise of being “temporarily unstocked”. This encourages short cycle rotations.

Many CDM forestry projects are eucalyptus tree plantations that receive carbon credits from re-planting the eucalyptus tree harvest. Eucalyptus trees are only native to Australia and if planted in other countries such as India, can have severe negative impacts, such as enormous water consumption.

Leakage

Leakage is the shift of emissions to a different location because of a project activity. This is of particular concern in forestry projects. For example, the reforestation of pastureland may drive local farmers to clear forests elsewhere for new pastures. Some leakage cannot be addressed. Leakage must be accounted for and subtracted if project calculations are to be credible and accurate. Yet accounting accurately for leakage is in many cases not possible.

Permanence

Forestry projects are problematic because of the risk of reversal of CO2 storage, for example in case of fire or logging. This is why under the CDM, forestry projects receive offsets that are only valid for a certain period:

  • Temporary CERs (tCER) are issued for an afforestation or reforestation project which expires at the end of the commitment period following the one during which it was issued
  • Long-term CER (lCER) are issued for an afforestation or reforestation project which expires at the end of its crediting period.

Because of permanence issues such credits are not accepted in the EU-ETS.

Conflicts over Land Tenure

Forestry and project types that use large amounts of land can be problematic because they can raise land tenure issues and lead to in some cases violent conflicts over land use and ownership.

Forest in Exhaustion

It has been suggested that ‘forests in exhaustion’ (depleted forests) should be included as afforestation and reforestation CDM project activities. CDM Watch strongly opposes the inclusion of this project type because it is likely to provide subsidies to industrial tree plantations in circumstances that encourage bad management practices and the establishment of plantations in inappropriate locations. Such subsidies would insulate the wood growing and processing industries from commercial pressures to improve their efficiency, reduce wastage, increase recycling and select more suitable sites for plantation establishment. The ‘forests in exhaustion’ proposal also risks undermining the REDD+ mechanism by incentivising the establishment of plantations under the CDM rather than the restoration of natural forest ecosystems under REDD+.

Ecosystems Climate Alliance and CDM Watch response to call for submissions on the inclusion of reforestation of lands with forest in exhaustion as afforestation and reforestation CDM project activities(pdf-file, March 28, 2011)

Le MDP permet les activités de boisement et de reboisement (B/R). Celles-ci sont la conversion directe de terres non forestières en terres forestières par la plantation, l’utilisation de semis ou la facilitation par l’homme des semences naturelles. « Reboisement » et « boisement » décrivent la même activité, la principale différence entre ces termes étant le laps de temps pendant lequel la terre était non forestière avant que l’on commence à replanter. Pendant l’engagement de la première période du Protocole de Kyoto (2008-2012), les activités MDP étaient limitées au boisement / reboisement des terres non forestières au 31 décembre 1989. Ces projets reçoivent des crédits carbone car la séquestration biologique absorbe le CO2 grâce à la croissance de la végétation et un stockage continu dans les tissus végétaux et dans le sol. En avril 2012, moins de 40 projets ont été enregistrés et un seul projet a reçu des crédits.

La comptabilisation du carbone

Les projets « arboricoles » ont un attrait naturel parce qu’ils évoquent des images d’écosystèmes vierges et en bonne santé. La réalité des projets forestiers de séquestration du carbone est beaucoup plus complexe. La quantité de carbone séquestré par les forêts dépend de nombreux facteurs, y compris de l’âge des arbres, de leur taux de croissance, du climat local et de la qualité des sols. Le calcul de la quantité de CO2 utilisée ou stockée dans une forêt est donc difficile et complexe. C’est une des raisons pour lesquelles si peu de projets ont été mis en œuvre.

La monoculture d’arbres

La définition de « forêt » par la CCNUCC permet à des projets MDP de reboiser des surfaces avec des monocultures d’espèces non-indigènes, tels que l’eucalyptus. Cela n’est pas correct et ne conduit pas à la création d’écosystèmes forestiers naturels qui abriteraient une biodiversité conséquente. La définition de « forêt » par la CCNUCC permet aux plantations d’arbres d’être continuellement récoltées sous le couvert d’être « temporairement déboisées ». Ce qui encourage les rotations de cycle court.

De nombreux projets forestiers MDP sont des plantations d’eucalyptus qui reçoivent des crédits carbone à partir du replantage de la récolte des eucalyptus. Les eucalyptus sont originaires d’Australie et s’ils sont plantés dans d’autres pays comme l’Inde, ils peuvent avoir de graves impacts négatifs, tels qu’une consommation importante d’eau.

Fuite

La fuite est le déplacement des émissions à un endroit différent par une activité d’un projet. Cette situation est notamment préoccupante pour les projets forestiers. Par exemple, le reboisement des pâturages peut conduire les agriculteurs locaux à défricher ailleurs des forêts pour les pâturages. Certaines fuites ne peuvent être résolues. Les fuites doivent être prises en compte pour ce qu’elles sont et doivent être déduites dans les calculs d’un projet pour que celui-ci soit précis et crédible. Pourtant, dans de nombreux cas, une comptabilité précise des fuites n’est pas possible.

Permanence

Les projets forestiers sont problématiques à cause du risque d’inversion du stockage du CO2, par exemple en cas d’incendie ou d’exploitation forestière. C’est pourquoi dans le MDP, les projets forestiers qui reçoivent des compensations ne sont valables que pendant une certaine période :

  • Les URCE temporaires (URCE-T) sont émises pour un projet de boisement ou de reboisement qui expire à la fin de la période d’engagement qui suit celle pendant laquelle elles ont été émises.
  • Les URCE à long terme (URCED) sont émises pour un projet de boisement ou de reboisement, qui expire à la fin de sa période d’émission de crédit.

En raison de problèmes de permanence, ces crédits ne sont pas acceptés dans le SCEQE.

Les conflits sur les régimes fonciers

Les projets forestiers et ceux qui utilisent de grandes superficies de terres peuvent être problématiques car ils peuvent soulever des questions foncières et conduire dans certains cas à des conflits violents sur l’utilisation et la propriété de ces terres.

Forêt en épuisement

Il a été suggéré que les « forêts en épuisement » (forêts appauvries) devraient être inclues en tant que projet MDP de boisement et de reboisement. CDM Watch s’oppose fermement à l’introduction de ce type de projet, car il est susceptible de fournir des subventions aux plantations industrielles en encourageant des pratiques de mauvaise gestion et la mise en place de plantations dans des endroits inadéquats. De telles subventions vont protéger l’industrie forestière et les processus industriels associés des pressions commerciales qui pourraient améliorer leur efficacité, réduire le gaspillage, augmenter le recyclage et conduire à la sélection de sites plus appropriés pour l’établissement des plantations. La proposition des « forêts en épuisement » risque également de compromettre le mécanisme REDD + en incitant à la création de plantations MDP, plutôt que de restaurer des écosystèmes forestiers naturels en vertu du REDD +.

La réponse d’Ecosystems Climate Alliance et de CDM Watch à l’appel à participation sur l’introduction du reboisement des terres avec forêt en épuisement avec des projets MDP de boisement et de reboisement. (Fichier-PDF, 28 mars, 2011) 

Actualmente, el MDL permite que las actividades de repoblación forestal  y reforestación (A/R). Estos describen la conversión directa de tierras no boscosas a tierras forestales mediante la plantación, siembra o fomento antropógeno de semilleros naturales. «Reforestación» y «repoblación forestal», principalmente describen la misma actividad, la principal diferencia entre estos términos es la longitud de tiempo que la tierra estuvo sin bosque antes que la actividad de reforestación se iniciara. Durante el primer período de compromiso del Protocolo de Kioto (2008-2012), las actividades del MDL se limitaban a la repoblación forestal / reforestación de tierras que no contenía ningún bosque hasta el 31 de diciembre de 1989. Estos proyectos recibirán créditos de carbono debido a la captura biológica de CO2 absorbido a través del crecimiento de la vegetación y el almacenamiento continuo en los tejidos de las plantas y los suelos. A partir de abril del 2012, menos de 40 proyectos han sido registrados y sólo un proyecto ha recibido créditos.

Contabilidad del Carbono

Los ‘proyectos de los árboles’ tienen un atractivo natural, ya que evocan imágenes de ecosistemas prístinos y saludables. La realidad de los proyectos forestales de captura de carbono es mucho más complicada. La cantidad de carbono absorbido por los bosques depende de muchos factores incluyendo la edad del árbol, la tasa de crecimiento, el clima local y la calidad del suelo. Calcular de la cantidad de CO2 absorbido o almacenado en un bosque es por consiguiente difícil y complejo. Esta es una de las razones por la cual tan pocos proyectos han sido implementados hasta ahora.

Los monocultivos de árboles

La definición de «bosque» de acuerdo con la CMNUCC permite proyectos MDL de reforestación con plantas no nativas como por ejemplo plantaciones de monocultivos de árboles como el eucalipto. Esto pasa por alto y no logra crear el valor de los ecosistemas forestales naturales, tales como hábitat para la biodiversidad. La definición de «bosque» en virtud de la Convención Marco permite que las plantaciones de árboles sean cosechadas continuamente bajo la apariencia de ser «áreas temporalmente sin árboles». Esto incentiva a las rotaciones de corto ciclo.

Muchos de los proyectos forestales MDL son plantaciones de eucaliptos que reciben créditos de carbono de la re-plantación de la cosecha de eucalipto. Los eucaliptos son solo nativos de Australia y si se plantan en otros países como la India pueden tener graves impactos negativos, tales como el enorme consumo de agua.

Fugas

Las fugas son el cambio de las emisiones de un lugar a otro diferente a causa de una actividad de proyecto MDL. Esto es especialmente preocupante en los proyectos forestales. Por ejemplo, la reforestación de los pastizales puede conducir a los agricultores locales a limpiar los bosques en otras partes para nuevos pastos. Algunas fugas no pueden ser controladas. Se deben tomar en cuenta estas fugas y restarlas en lo cálculos de emisiones si se pretende crear proyectos MDL creibles y precisos. Sin embargo, una contabilidad precisa de estas fugas es por lo general simplemente imposible.

Permanencia

Los proyectos forestales son un problema debido al riesgo de la inversión de las reservas de CO2, por ejemplo, en caso de incendio o tala. Esta es la razón por la que, en el marco del MDL, los proyectos forestales reciben las compensaciones que sólo son válidas durante un período determinado:

  • CRE’s temporales (tCRE) se emiten para un proyecto de repoblación forestal o reforestación que expire al final del período de compromiso siguiente a aquel en el que se expidió
  • CRE’s a largo plazo (lCRE) se emiten para un proyecto de repoblación forestal o reforestación que expira al final de su período de acreditación.

Debido a los problemas de permanencia de estos proyectos, sus créditos no son aceptados en el mercado de carbono de la Unión Europea (EU ETS).

Los conflictos sobre tenencia de la tierra

Silvicultura y tipos de proyectos que utilizan grandes cantidades de tierra puede ser problemáticos, ya que pueden aumentar la tenencia de la tierra y dar lugar en algunos casos a conflictos violentos por el uso y tenencia de tierra.

Bosque en Agotamiento

Se ha sugerido que «los bosques en agotamiento» (bosques agotados) deben ser incluidos como actividades de repoblación forestal y reforestación de proyectos MDL. CDM Watch se opone firmemente a la inclusión de este tipo de proyectos, ya que es probable que proporcionen subsidios a las plantaciones industriales de árboles en circunstancias que fomentan las malas prácticas de gestión y el establecimiento de plantaciones en lugares inadecuados. Estas subvenciones aislarían las industrias de cultivo de madera y procesamiento de las presiones comerciales para mejorar su eficiencia, reducir el desperdicio, aumentar el reciclaje y seleccionar los sitios más adecuados para el establecimiento de las plantaciones. La propuesta de tener «bosques en agotamiento» en el MDL también amenaza con socavar el mecanismo REDD +, incentivando el establecimiento de plantaciones en el marco del MDL en lugar de la restauración de los ecosistemas forestales naturales en REDD +.

La respuesta de las organizaciones Ecosystems Climate Alliance y CDM Watch sobre una eventual inclusión de la reforestación de tierras con bosques en extinción como actividades de forestación y reforestación de proyectos MDL. (pdf-file, marzo 28, 2011)

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