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Problematic CDM Projects to WATCH! Nallakonda – Wind farm project, India |
Carbon offset mechanisms such as the CDM can only be effective climate mitigation policy tools if their resulting carbon offset credits represent actual emissions reductions achieved by a project. This is usually referred to as the ‘environmental integrity’ of an offset mechanism or its offsets. Offsetting mechanisms such as the CDM are zero-sum mechanisms. In other words they do not lead to additional emission reductions beyond those determined under the cap (see carbon trading) . They only lead to a geographic shift – e.g. instead of reducing their own emissions, a European power plant buys CDM credits to comply with its obligations in the European trading scheme. If credits that are bought have low environmental integrity, they actually cause an increase of emissions. Environmental integrity depends on two main factors:
Additionality
The CDM requires each approved project to be ‘additional’. This means that the project only went forward because of the extra financial support provided by the sale of carbon credits. Assuring that each project is additional is integral to the integrity of the CDM. Each business-as-usual (non-additional) CDM project that sells credits under the CDM allows an industrialised country to emit more than their targets without causing the equivalent emissions to be reduced in a developing country. There have been estimates that 20-70% of all CDM projects are non-additional. Very large infrastructure projects, where revenues from carbon credits makes up only a very small fraction of profits, are particularly unlikely to be additional. For example, large hydro power and coal power projects have repeatedly been shown to be business-as-usual.
Investment AnalysisThe investment analysis is used to determine that the proposed project activity is not economicallyor financially attractive or feasible, without the revenue from the sale of CERs. This analysis shows that the project’s expected financial returns are below a benchmark for what is considered good investment for that particular type of project. The investment analysis is very complicated. Therefore, the Executive Board has issued guidelines which should be used when assessing a project that applies this method. | Barrier AnalysisThe barrier analysis is used to show that there are barriers, most often expressed as risks, which prevent the project activity from going forward but do not prevent the implementation of alternatives. Under this analysis, the additional revenues generated by the sale of carbon credits offsets that risk. If the CDM does not alleviate the identified barriers that prevent the proposed project activity from occurring, then the project activity is not additional. | Common Practice AnalysisThe common practice analysis is a credibility check to complement the investment or barrier analysis.It is used to demonstrate that the project type is not already common practice in the relevant sector and region. If similar activities or technologies are already being used, the proposed CDM project activity is not additional. |
Baselines
Every project needs to determine what its emissions would have been if the project was not implemented. These are called the baseline emissions. The number of credits a project receives is then calculated by subtracting the project emissions from the baseline emissions. For example, a CDM landfill gas project captures methane, a strong greenhouse gas that would otherwise escape into the atmosphere. The baseline emissions are in this case all the methane that would escape from the landfill without the added landfill gas project that will capture and burn the gas. The project emissions include the methane that ‘leaks’ (not all of the methane can be captured) and the CO2 that results from burning the methane that is captured.
The problem is that in many cases, the baselines are inflated. In some cases, project developers artificially increase baseline emissions to get more credits. In the last couple of years, the CDM has tried to standardise baseline and additionality determination in an effort to make them more objective and to simplify procedures for project developers. Standardisation can be a good approach for some sectors if designed carefully, however it is not a miracle solution. Learn more about standardisation.
Useful External Links:
Les mécanismes de compensation carbone tels que le MDP ne peuvent être des outils politiques d’atténuation du changement climatique efficaces que si les crédits carbone de compensation qui en résultent représentent des réductions réelles d’émissions réalisées par un projet. Ceci est habituellement appelé « l’intégrité l’environnementale » d’un mécanisme de compensation ou de ses compensations. Les mécanismes de compensation tels que le MDP sont des mécanismes à somme nulle. En d’autres termes, ils ne permettent pas des réductions d’émissions allant au-delà de celles fixées par le plafonnement (voir échange du carbone →). Ils conduisent seulement à une relocalisation géographique – par exemple : au lieu de réduire ses propres émissions, une centrale électrique européenne achète des crédits MDP pour se conformer à ses obligations dans le SCEQE. Si les crédits qui sont achetés ont une faible intégrité environnementale, ils vont de fait participer à l’augmentation des émissions. L’intégrité environnementale dépend de deux facteurs principaux :
Additionnalité
Le MDP exige que chaque projet approuvé soit « additionnel » : c’est à dire qu’il soit réalisé grâce au soutien financier supplémentaire fourni par la vente de crédits carbone. Veiller à ce que chaque projet soit additionnel fait partie intégrante de l’intégrité du MDP. Chaque projet MDP business-as-usual (non-additionnel) qui vend des crédits dans le cadre du MDP permet à un pays industrialisé d’émettre plus que leurs objectifs sans que des émissions équivalentes ne soient réduites dans un pays en développement. Certaines estimations parlent de 20 % à 70 % des projets MDP qui ne sont pas additionnels. Les projets d’infrastructure très importants, où les revenus provenant des crédits carbone ne représentent qu’une très petite fraction des bénéfices, sont particulièrement peu susceptibles d’être additionnels. Par exemple, il a été démontré que de nombreux grands projets hydroélectriques et projets utilisant du charbon étaient business-as-usual.
Analyse des InvestissementsL’analyse des investissements est utilisée pour déterminer que l’activité du projet proposée n’est pas financièrement attractive ou faisable sans les recettes provenant de la vente des URCE. Cette analyse montre si rendements financiers escomptés du projet sont en dessous du point de référence de ce qui est considéré comme un bon investissement pour ce type de projet en particulier. L’analyse des investissements est très compliquée. Par conséquent, le Conseil Exécutif a émis des directives qui doivent être utilisées lors de l’évaluation d’un projet qui utilise cette méthode.
| Analyse des BarrièresL’analyse des barrières est utilisée pour montrer qu’il existe des obstacles, le plus souvent exprimés comme des risques, qui empêcheraient l’activité du projet d’aller de l’avant, mais qui ne feraient pas obstacle à son implémentation ou à des alternatives. Selon cette analyse, les revenus additionnels générés par la vente de crédits carbone compensent ce risque. Si le MDP ne résout pas les obstacles identifiés qui empêchent l’activité de projet proposée, alors le projet n’est pas additionnel.
| Analyse des pratiques courantesL’analyse des pratiques courantes est une vérification de la crédibilité en complément de l’analyse des investissements ou des barrières. Elle est utilisée pour démontrer que le type de projet n’est pas déjà une pratique courante dans le secteur concerné et de la région. Si des activités ou des technologies semblables sont déjà utilisées, l’activité de projet MDP proposée n’est pas additionnelle. |
Les références de base
Chaque projet doit déterminer quelles auraient été ses émissions si le projet n’avait pas été mis en œuvre. On les appelle les émissions de référence. Le nombre de crédits qu’un projet reçoit est alors calculé en soustrayant les émissions du projet des émissions de référence. Par exemple, un projet MDP d’enfouissement de gaz va capturer du méthane, un gaz à effet de serre puissant qui serait rejeté autrement dans l’atmosphère. Les émissions de référence sont dans ce cas tout le méthane qui s’échapperait du site d’enfouissement sans ce projet qui, lui, va capturer et brûler le gaz. Les émissions du projet comprennent le méthane qui « fuit » (tout le méthane ne peut pas être capturé) et le CO2 résultant de la combustion du méthane capturé.
Le problème est que dans de nombreux cas, les références de base sont gonflées. Dans certaines situations, les promoteurs de projets augmentent artificiellement le niveau de référence pour obtenir plus de crédits. Au cours des dernières années, le MDP a essayé de normaliser les références de base et la détermination de l’additionalité afin de les rendre plus objectifs et de simplifier les procédures pour les promoteurs de projets. La normalisation peut être une bonne approche pour certains secteurs, s’ils sont conçus avec soin, toutefois, ce n’est pas une solution miracle. En savoir plus sur la normalisation →
Liens externes utiles :
- Outil pour la démonstration et l’évaluation de l’additionnalité (6.0.0)
- Outils combinés pour identifier les scénarios des références de base et pour démontrer l’additionnalité
- Guide sur les évaluations des analyses d’investissement
Pour voir la publication en anglais, cliquez ici
Mecanismos de compensación de carbono como el MDL sólo pueden ser instrumentos eficaces en la política de mitigación del cambio climático si sus créditos de compensación de carbono resultantes representan reducciones de emisiones reales alcanzadas por un proyecto. Esto generalmente se conoce como la «integridad ambiental» de un mecanismo de compensación o de sus compensaciones. Mecanismos de compensación como el MDL son mecanismos de suma cero. En otras palabras, no dan lugar a reducciones de emisiones adicionales a las que se determina en el tope (ver el comercio de carbono). Estos mecanismos sólo conducen a un desplazamiento geográfico – por ejemplo, en lugar de reducir sus propias emisiones, una planta de electricidad en Europa compra créditos del MDL para cumplir con sus obligaciones en el régimen de comercio europeo. Si los créditos que se compran tienen una integridad ambiental baja, ellos en realidad causan un aumento de emisiones. La integridad del medio ambiente depende de dos factores principales:
Adicionalidad
El MDL requiere que cada proyecto aprobado sea «adicional». Esto significa que el proyecto sólo se llevó a cabo gracias al apoyo financiero adicional proporcionado por la venta de créditos de carbono. Asegurando que cada proyecto sea adicional es esencial para la integridad del MDL. Cada proyecto que sea de costumbre (no adicional) y que vende créditos en el marco del MDL permite indirectamente a un país industrializado emitir más de sus objetivos sin causar las emisiones equivalentes a reducirse en un país en desarrollo. Se estima que entre 20-70% de todos los proyectos del MDL no son adicionales. Proyectos de infraestructura muy grandes, donde los ingresos de los créditos de carbono constituyen sólo una fracción muy pequeña de los beneficios, tienen una adicionalidad especialmente cuestionable. Por ejemplo, se ha demostrado repetidamente que megaproyectos hidroeléctricos de energía y de carbón son negocios de costumbre.
Análisis de InversiónEl análisis de inversión se utiliza para determinar que la actividad de proyecto propuesta no es económicamente o financieramente atractiva o viable, sin los ingresos de la venta de los CERs. Este análisis muestra que los rendimientos financieros del proyecto esperados están por debajo de un punto de referencia para lo que se considera buena inversión para ese tipo particular de proyecto. El análisis de la inversión es muy complicado. Por lo tanto, el Consejo Ejecutivo ha emitido directrices para seguir para evaluar un proyecto en donde se aplica este método. | Análisis de BarreraEl análisis de barrera se utiliza para mostrar que existen barreras, más a menudo expresadas como riesgos que impiden la actividad del proyecto que avance, pero no impiden la aplicación de alternativas. En virtud de este análisis, los ingresos adicionales generados por la venta de créditos de carbono compensan el riesgo. Si el MDL no alivia las barreras identificadas que impiden que la actividad de proyecto propuesta se produzca, entonces la actividad del proyecto no es adicional | Análisis de Práctica ComúnEl análisis de la práctica común es la comprobación de la credibilidad para complementar el análisis de la inversión o de barrera. Este se utiliza para demostrar que el tipo de proyecto no es ya una práctica común en el sector correspondiente y de la región. Si las actividades o tecnologías similares ya están siendo utilizadas, la actividad de proyecto MDL propuesta no es adicional. |
Líneas de base
Cada proyecto debe determinar cuáles habrían sido sus emisiones si el proyecto no se llevara a cabo. Esto se llaman emisiones de linea de base (o referencia). El número de créditos que un proyecto reciba se calcula restando las emisiones del proyecto de las emisiones de referencia. Por ejemplo, un proyecto de biogás MDL captura metano, un gas de fuerte efecto invernadero que de otro modo escaparía a la atmósfera. Las emisiones de referencia son, en este caso todo el metano que escaparía del relleno sanitario sin el proyecto de gas del relleno sanitario el cual capturaría y quemaría el gas. Las emisiones del proyecto incluyen el metano que se filtraría (no todo el metano puede ser capturado) y el CO2 resultante de la combustión del metano que se captura.
El problema es que en muchos casos, las líneas de base están infladas. En algunos casos, los desarrolladores de proyectos aumentan artificialmente las emisiones de referencia para obtener más créditos. En el último par de años, el MDL ha tratado de estandarizar la base de referencia y la determinación de la adicionalidad, en un esfuerzo para que sean más objetivos y simplificar los procedimientos para los desarrolladores de proyectos. La normalización puede ser un buen método para algunos sectores si se diseñan con cuidado, sin embargo, no es una solución milagrosa. Aprenda mas acerca de normalización.
Enláces externos de interes (en inglés):
- Tool for the demonstration and assessment of additionality (6.0.0)
- Combined tool to identify the baseline scenario and demonstrate additionality
- Guidelines on the assessment of investment analysis.
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